Pour la culture européenne, l’antiquité est la période qui débute par la naissance de l’écriture et qui se termine dans les troubles politiques et religieux au Moyen Âge. De nombreuses cultures artistiques, en particulier de l’architecture qu’on connaît (par exemple, les bâtiments publics) sont inspirées de modèles anciens. Bien que les Grecs aient l’habitude d’appeler tous les autres peuples « barbares ». Cependant il existe de nombreux exemples de maîtrise artistique et de raffinement de ces autres cultures, il faut admettre que leur influence sur l’art est très importante à ce jour. Mais qu’est-ce que l’art antique et comment le reconnaître ?
Qu’est-ce que l’art antique ?
Le terme art antique fait référence à tous les mouvements artistiques qui sont apparus avant l’art moderne, y compris la Grèce antique, l’Égypte ancienne ou l’art médiéval. L’un des arts les plus connus est l’art classique développé en Europe aux XVIIe et XVIIIe siècles, plus exactement entre 1660 et 1715. La peinture classique suit certaines règles, dans lesquelles on peut trouver la figuration, le réalisme et le traditionalisme, en prévenant les sujets trop controverse. Les œuvres de peintres classiques tels que Raphaël symbolisent pour la majorité des sujets inspirés des temps anciens et de la mythologie grecque latine. L’art antique comprend la sculpture, la peinture ou l’architecture. La peinture classique est très influente en France, avec notamment des articles d’ambassadeurs comme Charles Le Brun ou Nicolas Poussin.
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Les monuments de l’Antiquité
Entre mémoire politique et l’art public, le monument semble avoir toujours existé. Il se confond avec l’architecture publique propre à la ville grecque ou avec l’architecture funéraire de l’Égypte ancienne. Cette double dimension imprègne à travers l’Antiquité, les écrits des historiens de Pausanias ou de Thucydide, qui décrivit les monuments publics référant à un modèle politique dorénavant révolu. Pour être précis, l’espace public des monuments de l’Antiquité et l’éventualité de les réinvestir détermineront longtemps leur perception. Au Moyen Âge, la célèbre statue de l’empereur romain Marc Aurèle sera conservée près de la basilique Saint-Jean de Latran, à Rome. Le premier empereur chrétien à être fidèlement vu est la statue de Constantin. En plus de cette communication ancienne exagérée, il faut également considérer les multiples manifestations de la nature avant la Renaissance et les reliques du passé. Les piliers de l’ancien temple ont été réutilisés pour construire des palais ou des églises. Par conséquent, le changement et la tradition sont inséparables ; ou pillées, au sens moderne du terme, les ruines de l’Antiquité n’ont pas encore obtenu le statut de monuments. À cette forme spécifique d’usage des ruines concorde un sens repéré de l’autorité des anciens.
Bronzes antiques
Depuis les années 1950, les historiens et archéologues de l’art ancien ont révélé un intérêt nouveau pour les « petits bronzes », les objets décoratifs et les statuettes. La découverte spectaculaire explique cela dans une certaine mesure qu’il y a des milliers de bronzes archaïques et géométriques dans le stade Olympia. Les tombes de Macédoine et de Thrace sont riche en vaisselle d’argent et de bronze ; vases étrusques et grecs de la Gaule orientale et du sud-ouest de l’Allemagne, dont l’exemple le plus notable est le cratère de Vix.
Cependant, il y a une manifestation plus générale ici : les petits bronzes grecs sont primitifs, et on ne comprend guère les sculptures classiques et hellénistiques que par des reproductions. Dans les provinces de l’Empire romain, les statues sont généralement juxtaposées au marbre académique, parfois avec un attrait esthétique médiocre, tandis que les statues maladroites ont un attrait indéniable. D’une manière générale, l’artisanat est le revers du grand art. Les problèmes techniques qu’elle pose et son impact social et économique rendent la recherche sur les petits objets de plus en plus importants.
Sculpture grecque antique
La sculpture est peut-être l’aspect le plus célèbre de l’art ancien notamment pour l’art grec ancien. Elle a fait de la Grèce antique un art contemporain, mais après la peinture. Elle a fourni aux dieux les plus beaux cadeaux pour célébrer les héros et obtenir leur protection. La statue grecque est souvent copiée et modifiée à travers des écritures romaines, et a été une référence permanente pour les sculpteurs du monde occidental, en particulier de la Renaissance italienne au début du XXe siècle.
Seule une petite partie des sculptures grecques est attribuée, et à l’exception des céramiques peintes, presque toutes les peintures ont disparu. De nombreux chefs-d’œuvre décrits dans les œuvres littéraires anciennes sont aujourd’hui perdus ou gravement mutilés, et ce n’est que par une reproduction plus ou moins habile et fidèle de l’époque romaine que nous pouvons en savoir beaucoup. De la Renaissance à nos jours, les sculpteurs occidentaux ont restauré nombre de ces sculptures, parfois leurs significations sont bien différentes des œuvres originales. Le travail de dé-restauration peut retrouver l’œuvre dans certains cas, même au coup par coup.